Gare II - Strasbourg



Les voiles ici, c'est aussi la liberté des autres.
C'est que, je suis très maladroit,
même au 400 vingt-et-un.

La vie danse



Moi qui aurait aimé passer dans la vie comme une feuille au vent, un rien entrainé dans un rayon de soleil, un pixel même pas bleu, me revoici soudainement bien important
...
Les évidences aussi ne sont qu'une question de temps.
On ne s'y prépare jamais assez.

Métamorphose



Avant de savoir lire, j'aimais trainer aux champs.
Des heures, des jours, des années sans doute.
J'allais souvent embêter les grillons. Leurs chants me permettaient d'en localiser. Avec un brin d'herbe, je titillais l'intérieur de sa cachette, le faisant sortir en marche arrière. Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi il se glissait ainsi, tête en avant, dans ce trou trop petit pour s'y retourner.
A sa place, je me serais mis au moins dans l'autre sens, prêt à accueillir comme il faut l'éventuel prédateur. Peut-être étais-je le seul? Des fourmis, ou pire, qui sait? Et ceux là, qui creusaient et disparaissaient dans les galeries souterraines une fois la pierre levée... Quand j'imaginais qu'un simple ver de terre, débouchant de la sienne, puisse apparaitre devant lui, par son simple travail d'être, j'étais terrifié de la différence de forme.
Bref. Il sortait, faisait demi-tour sur la terrasse, face au ciel. Ses antennes démesurées palpaient l'espace sans rien toucher, semblaient boire des paillettes de soleil, écouter les cils du vent... Quoi d'autre, comment?
Tout autour, salué d'une chaleur d'été et de quelques sauterelles, le monde, bien sûr, intensifiait de cette rencontre miraculeuse.
Et hop!
Nouveau demi-tour, il rentrait véloce, marche avant toute dans le trou...

Le soir arrivé, je me repliais face dans mon lit, la tête entre les genoux, le corps dans l'inclinaison du grillon en sol. Je restais longtemps ainsi, très longtemps, la tête dans son monde, les brasantennes le long du corps.
Je crois, des fois, je me suis ainsi endormi.
J'aimerais bien savoir ce que je n'ai pas appris.

Filet d'horizons

Google

"Si l'homme n'existait pas, il faudrait l'inventer"

Marche arrière



C'est comme un cordon qui s'étire ou se resserre.
Il n'y avait là qu'un peu de temps.
J'en ai souvent mesuré l'arrachement.
Il aurait fallu une chose de plus, une chose de moins.
Quelques notes tomberont encore, avec la régularité inhumaine du métronome.
Cette machine n'était pas pour moi. Pas ainsi. Trop tôt, ou trop tard.
L'idée même que quelque chose puisse exister, même au ras des pâquerettes, est souvent une jubilation d'enfant.
Dans ce qu'il est possible de dire ou de faire, j'en vois parfois 36 chandelles.

Aux séants

Vous inventez un mot qui n'existe pas.
-Vérifiez sur internet. Ailleurs, c'est trop difficile-

"Virusuel" par exemple.

Ensuite vous créez une alerte informatique (Google, ...) qui vous préviendra dès son apparition sur la toile.
Quelle étranges contrées demain pourrait bien vous apporter?




Ha... Une partie de pêche par un bel après-midi
au delà de l'espace et du temps
la douce présence ami amie à ses côtés

...

Mon jour préféré, si incalculable.

Vie d'en vie




Un ami m'a dit un jour : pour que ce que tu fais prenne de la valeur, il faudrait peut-être que tu meurs. On se suicide toujours trop tard disait Cioran. Le passé se lit autrement qu'aujourd'hui.

Mon beau 16/9ème, presque nombre d'or, me donne 1,7777778.

Je cherchais le recul que je pouvais mettre pour me libérer de la "contrainte" de publier chaque jour. Au début, j'ai bien pensé passer au 1 jour sur 7 et ainsi m'alléger.
Macérer n'est pas le jeu d'ici. Rêver non plus.

Alors je pensais une étrange machine : abandonnant l'instant, je publie chaque note à la date du jour d'après celle que je viens de faire.
Ici et ailleurs.
De cette avance sur le temps, je pourrais même prendre des vacances qui ne se verront pas.

Découvrir mon passé. Peut-être y verrez-vous un peu du votre?
Mettre une distance.
Pour voir.

Je suis peut-être déjà mort.

Sans nombre



Une journée commence et c'est un soleil qui vous prend au coeur. Un élan que l'on sait déjà de durée. Juste un leurre de lien? Flute alors, j'aurais aimé cet encore.
Puis un autre.
Puis un autre.
Et puis les autres............................

Une journée passée à penser cette note. Elle aurait du être la plus longue de toutes, elle rétrécit de mots en mots.

Ce pixel dont peu m'importe la couleur, sauf un peu ce bleu où je me posais parfois, où je rebondissais comme un miroir, où je m'enfonçais comme en un infini : ce soir je le lance au vent.
Peut-être reviendra-t-il ? Certains poids ont la vie dure.
A vouloir comprendre et dire le pourquoi et le comment des chemins inutiles et en perte de temps, je me sens devenir ce chemin là, où même une main amie ne se verrait pas, sinon comme une gifle à venir.
Des voiles tomberont encore.



...

Ce soir, je ne veux plus passer d'une rive à l'autre.
D'un barreau à l'autre, of course!
Je ne peux plus.
Je veux être de ce monde que je n'ai fait qu'entrevoir.

Je ne sais même plus dire : Merci à Vous.

Sculpix ~ Tag'heure ~ Einziger zug ?
Je ne sais pas demain.


Va chercher !

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Petite histoire


Pourquoi sommes-nous accrochés ainsi à ces images que l'on sait au fond passagères comme le vent?
C'est pourquoi j'insiste depuis de nombreuses années pour développer la mémoire future de l'image d'internet. Un centre de collecte de photos d'écrans envoyées par les internautes pour le côté pair, le filtre d'une connaissance côté pile, donner à l'oeil de demain.

La photo, c'est ma madeleine de Proust où je ne suis pas passé
Ces heures à voir s'illuminer des pages blanches dans l'orange noir et dont il ne reste rien

Bien sûr, beaucoup de choses sont à cadrer, mais tout est là, noeud central de bien des sites, d'inserts de site, entrants, sortants, gratuits ou pas.

J'ai passé pas mal de temps à essayer de faire au moins le principal, il a bien fallut que je me rende compte que je ne pouvais y arriver seul, ni convaincre du projet sans y passer un temps fou.

Les systèmes que je connais enregistrent les pages : les images en lien y font des trous. Des systèmes techniques disparaissent purement et simplement.
En quelques années, le paysage a déjà fortement évolué, il n'y a pas d'histoire visuelle du net, les débuts me semblent déjà perdus.

J'ai laissé une cabane en chantier, là-bas, si la vadrouille vous intéresse.

www.photos-du-net.com

Curiosité



Prise de vue.
Grain de sel serti dans la tête d'une aiguille d'acupuncture.
...
J'ai aussi du sucre.

Fil d'ombre




Emporté, j'ai vu qu'il manquait
une note
à partir ce doute

Lumières crues



Du ciel blanc tombe la neige.
On dirait que la terre monte, gagne des centimètres, se pense,
veut ressembler au ciel pourtant bien plus grand.

Je dis "flocons !" D'un infini différencié, je me retrouve avec une boule de neige dans la main.
Je l'enverrais bien au ciel, elle me reviendrait comme une bouteille de Cacolac qui me mettrait k.o.

Autoroute

L'esprit tient par complexité, et la complexité par l'ouverture.
J'avais écrit cela il y a quelque années.
Comme un sauvage.
Hier matin, je voulais tout laisser, tout mettre dans mon jeu de tarot comme on remplirait une malle, pour l'oublier

...

J'ai voulu écrire des quatrains, enfin, des trucs du genre, pour un ruban de Möbius, sans début ni fin. Pas cent, pour la largeur.
J'aurais aimé une phrase sans queue ni tête. Juste une, pour la longueur.

Rien.

J'en ai fait une boulette bien serrée.
J'ai déplié.
On ne voit presque plus la jonction dans les traces de plis, comme un essai Miyake, grosso modo.
Déconfitures.
J'ai trop reçu, je ne voyais pas.
Demain, peut-être.

Ruban de Möbius



Quand on coupe un ruban dans le sens du fil, on obtient logiquement et étonnamment -pour celui qui coupe- un ruban de double longueur. Si on recommence, on en a deux l'un dans l'autre.



Si on continue une troisième fois (+1 pour l'autre), on en obtient quatre.
Cela devient très emmêlé et je ne discerne plus grand chose. J'y perds mon souffle.

Ca fera un peu parole d'ivrogne pour ceux qui me connaissent, de ce jour, je sors de ma caverne. Ma résolution pour la 9 .

Anonyme

L'anonyme est partout et nulle part. Ses signes semblent parfois déconnectés du jeu où il se pose. Peut-être le sont-ils vraiment? Bateleur d'emblée, c'est comme un sdf qui me tire la manche, un prince qui me sourit. Il est un, il est mille. Plus loin que lui-même, il ose ce qu'il n'oserait pas. Il s'inscrit et me mesure à l'autre, entre force et négligence, lumière et ombre.
Un vivant grain de sel perfore l'espace.

L'anonyme n'est qu'un com', un signe de seconde zone, ne possède rien, est sans passé, hors connaissance.

Le bateau passe et trace son sillon fellinien.
Quoi que...
Certaines courbes ont un axe, vu du dessus.

Doresthr

J'ai plaisir à vous annoncer la mise en ligne de Doresthr, un blog édifié en un peu plus de 6 jours, à deux.

Un de ces pas, où pour un court moment sans fin, se partage l'élan.

Vous y lirez un très beau texte de Victorinus, qui, à lui seul, justifie bien le déplacement.
Et comme aucun fruit ne vient du hasard, là se trouve l'arbre qui l'a fait naitre : http://victorinus.blog.lemonde.fr



http://doresthr.blogspot.com/


.


AvatarII [log out] - William Scheller

Pic et pic et colégram


Aiguilles contrapuntiques, heu... esthétiques, heu... d'acupuncture bien sûr.

On peut isoler un système à 3 parties interdépendantes, comme par exemple, l'économique, le politique, le médiatique.
Quand l'une se déplace, elle entraine les autres, les obligeant à reconsidérer ce qu'elles croient du centre en mouvement.
Ce filtre de vision marche aussi bien avec Pierre Paul Jacques



Bien sur, dans la mécanique ainsi présentée, 2, Dieu et moi, par exemple, implique une certaine gymnastique.



Quand au rêve, planté sur son territoire et vibrant de l'air du temps...

Giacometti le disait : il faut apprendre à paresser son travail.

Du général au particulier

Quand c'est le sexe qui dirige la vie, ça peut être dangereux.
Quand c'est l'impuissance, ça peut devenir grave.

Si on aime ce qui est rigide

_______________________________

Une arme si puissante, comme une ligne informatique
Image et texte

D'où la plaisanterie
mieux vaut avant parce que après, c'est pendant.


Je plante des clous partout
je suis un poinçonneur des iles là

. .. ... ..... ........ ............. .....................

un fer à repasser de Man Ray aussi bien

un javelot vu du dessus .

C'est une présence, moins c'est le néant.
Plus et c'est déjà une échelle qui coule deux sources.
Si signe de paix, signe de guerre, chacun prend son tain de jeu.

Dire que ça roule est un euphémisme pour l'homme écran

Deux grains de sel en dissolution


Impression sur papier calque

Quand même l'explication façonne le silence, dans un sens ou dans l'autre, s'intercalent des bribes, des réplications aptes aux changements génético-climatiques.

Je fais confiance aux mises en formes des scientifiques, des politiciens, des docteurs, des juristes, des experts de tous poils, des fabricants de pains, des détenteurs d'or.

Prévenir, c'est guérir. C'est pas un cadeau.



Impression sur papier type filtre à café.

De bien belles histoires qui nous racontent toujours la même chose.
Que le sang coule sur terre et que souvent c'est pire.
Qu'un aveugle en guide un autre, qui en guide un autre, qui en...

Post-it plié



Petit clin d'oeil à :




Google












J'aime beaucoup cet artiste dont la boite qui explosa sous la pression interne, reposa la très sérieuse et cruciale question concernant la restauration (sorte de ré ou re-création) des oeuvres d'arts anciennes.

Bénitier

Post-it recto/verso

Je fais des notes comme ça, sans y penser vraiment, juste parce que cela me semble aussi juste que de regarder les feuilles dans un arbre.
Parfois, quelque chose coince, grippe, ne glisse pas. Sonne faux. Je ne sais pas forcement plus ce que c'est que lorsque cela me semble juste. Son inverse.




[Face à imprimer. Le verso reste vierge, enfin, on y écrit ce que l'on veut]

C'est une note comme ça, scannée, dessinée et coloriée comme au temps du critérium très mince.



Le mot dur à lire, c'est promesses.

(Dessins de sculpix cassés en 2)


J'aime les lieux qui se remplissent comme une musique, mon atavisme spirutuelle je suppose, qui me fait voir plus grand que moi, si prêt à péter comme une grenouille.
Bénityest
Evidement, il faut l'imprimer pour pouvoir le déchirer avec l'impression de nager dans la connerie.



Un passage de plan dur à voir, parce que de l'époque arrière où je vous parle, il n'y avait pas le gaz à tous les étages. On y revient doucettement. Pour un peu, ça sentirait même l'embrouille.

Si bêtement que plutôt que de changer l'orange carotte, j'm'y mettrais aussi bien un coup de pied au culturel.


Faut reconnaitre que ça se plie bien de ce côté là.

La plus petite de mes vraies expositions d'art en espace dédié je crois bien

Girouette



Les mots sont trop compliqués pour moi, enfin, disons que ça ne coule pas encore de source. Je repasserai.
Je stocke les images sur Ipernity, je fais un rappel de lien et c'est bien comme ça.
Tant qu'Ipernity ne "coule" pas... Sinon, ça fera encore des trous.

Mémoire de geste



C'était juste un temps.
Tourner les chiffres pour appeler l'autre. Le bruit du retour de cadran, le souvenir du chiffre suivant.
Un geste + un geste + un geste + un geste+ ....
Un temps non-instantané, utilisé, à quoi déjà?
C'était avant de confier notre mémoire aux machines.
L'ancêtre du téléphone, qui aussi bien, reliait Montpellier à Strasbourg.

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Bulle de passage



Meilleurs voeux numériques

Design industriel




Tu sais pourtant que lorsque tu parles de l'autre, c'est là que tu te vois le mieux. Tu continues à jeter des flèches qui disent, qui demain te reviendront.

Les blogs font comme les bulles, la voix d'Anonyme est toute puissante.

J'essayais de dire à ces étudiants qu'entre la main de Pêch-Merle et la transparence 3D d'aujourd'hui, la perspective ne fut qu'un point de vue qui mettait l'oeil et l'homme au centre du monde, comme enfin maître...

Quand ils s'aperçurent qu'il [ce point] figeait l'image, lui donnait en fin de compte que de la rigidité, ils allèrent jusqu'à en mettre 3.

J'en pose tellement dans mes peintures, sur le net, qu'il n'y plus qu'un choix faire, le vôtre.


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comme un déplacement, une articulation. Un point d'équilibre.
Le mien, malheureusement, heureusement ici.
Comme vous



Tout ce que l'on sait en perte de temps à offrir à l'autre, pour une muetitude toujours renouvelée, toujours égale à elle-même

j4EN AURAIS POURTANT ENCORE BIEN FAIT QUELQUES BAGUES
J'ai crié : ce n'était qu'une fausse manip, un lapsus gestuel que je ne corrigerai pas.

Ils posèrent tous leurs mains, humide sur la Pierre Sacrée. N'entendait-Elle pas l'intime des êtres pour l'éternité?

Tout ça pour vous dire la fin de l'agence de design Martello design.
Clic-clac, je ferme la boite.



Pour mieux travailler ;-)
(Je crois que j'ai tout pesé. 2x7 ans, cestassez)

Pèse-personne

Simple et ...

Une personne en aide une autre, parce que plus serait sans doute trop,
qui en aide une autre,
qui en aide une autre,
qui...

Quel drôle de rêve.

Un socle qui dure

Il se trouve, au temple du bricolage, un petit étau très lourd vu sa taille.
Il est d'un rouge "tenu", flamboyant et profond en même temps.
Sa manivelle a beaucoup de jeu, presque inverse de ses mordaches d'acier qui se positionnent justement.
C'est ce que j'ai trouvé de mieux pour beaucoup de sculps.

Pour sa mise en place, s'il n'y en a qu'une, faut réfléchir avec le contexte.

Ce n'est qu'une idée de cadre.

En tension


__
______________-;~:'-._,_______________



Javelot

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Javelot X

Reposer

Bord d'eau. Ecoute.
J'aimerai y entendre, encore,
juste une vague




Je lui parlerais de toi





Le Son X

Le réservoir à images était bordé.
Ce qui m'est apparu d'abord comme un coup du sort - ce qui n'existe que dans l'instant - je le vois maintenant comme quelque chose d'extrêmement juste.

Croire qu'ici certains états soient infinis est toujours une illusion entretenue dont tôt, tard ou trop tard, il faut se dire, oui, nous avons profité, abusés. Passer.

Faute ou pas, c'est comme ça

Je peux puiser, lier dans l'existant déjà posé.
Ou faire un trou, ailleurs. Remplacer. Basculer. Au mieux ?
Nouvelle donne.
Ces images soit~disant virtuelles prennent soudainement un poids
Quelque chose compte, n'était pas vain.


"Le sculpix dans le tarot" - 13 juin 2008

Juste un barreau

Repartir
Rebondir
~
Bondir
Partir
On a beau dire
Par le fer



___________.________________________________________


(Lame virusuelle-Début XXIème)

Ech. 1


On peut rationaliser une échelle.
C'est : 2 "montants" et des "barreaux"

On peut perdre en volume.

Virusuel


Virus
Visuel Usuel



Clic clac, c'est dans la boite ?



Je suis extrêmement content de sortir de cette cage là.

Noir Soeur Désir

Une substance visqueuse coule sur mes doigts, se faufile entre mes phalanges qui cherchent par écartement la limite de viscosité. A trop d'échappée, mon autre main récupère, passe par dessus l'autre, enroule des fils improbables.
Je n'ose en sentir l'odeur.
Dans ma nuit, j'ai cru que c'était du miel.
Une clarté m'a raconté, je l'ai suivie.

J'écris un texte. Dans ce que je corrige et qui n'apparais pas, je suis.
Ecrire, sans rature, sans recommencement en perte de temps.
Comme je peins

S'il y a une échelle, il suffit de mettre un mur.

J'ai une collection d'objets et de peintures sans début ni fin.
J'en ai une qui s'y tient.

J'aimerai bien dire que je suis le seul à croire que cela n'a aucune importance, mais c'est pas vrai.

Babel-Ouest


Signification volatile


Signification volatile

Signification volatile
Signification volatile

Signification volatile


Traces de vide



Quotagoogle.

Pour mettre une image de plus, j'en efface une ancienne. Ca fait un joli trou. Ailleurs.
Ferrailleur
Une drôle de machine chenillarde se déplace dans la nuit.
Son passage n'est rien.

Barque de roc

1/ Coco iTo !
Quand une porte se ferme,
il faut apprendre à repartir.

2/ De ses excès,
tout temps ressort.

3/ On ne choisit pas son ciel

Coup de patte

... à droite du miroir

Et M !!!!!!!!!! ince!

Erreurs au cours de l'envoi.

Les images suivantes n'ont pas été envoyées.

  • IMG_1322.JPG : Vous avez dépassé votre quota de transfert de photos.

Vous avez dépassé votre quota de transfert de photos. Pour plus d'informations, consultez cette page d'aide Blogger.


C'est pas esthétique ce truc.

Je suis vert.
Non, je suis bleu.
Je suis mor

L'esthétique est un péroquéquet



L'approche du Milieu de 0 m'interroge.
Faisant au mieux chacun des gestes,
une goutte de cri circule et bascule le miroir.
Je plaisante pour toutes excuses :
je ne vous avais pas vu,
si fugace au fil doré
Un autre jour
Une autre chance

Chant mathématique

Tempus fugit



La faiblesse, la force, de celui qui soudainement se met à apprendre, est de savoir qu'il n'a pas besoin de ça pour vivre.
Un voyage aux curieux retours, contours, détours.

Golem informatique

Archives du blog

Nota

Sauf indication contraire, toutes les terres proviennent de :
Atelier Rinck