C'est comme l'enfer de Jérôme Bosch, de passage chez Pompadour, ces belles personnes d'argent, d'or parfait parfois.
Une belle fleur en vérité, soudainement repoussée du miroir, où la peur d'un sang dont le contact brulerait sur le mur en face.
Comme un nounours singeant l'homme.
Sur ce, cocon de soie, je vous salue
Toucher la matière, c'est toucher l'oeil. Les aveugles le savent.
Si c'est vrai, faut pas toucher.
Terreur tribale.
Et pourquoi cette mort rejaillit toujours comme une chienne affamée, comme un bovin famélique? Parce qu'il allait y avoir une lutte à bras de poulpe flamboyant et sans vain coeur
C'est comme un théâtre de Pandore aux miroirs en tissus,
où l'on ne sait quelle couleur l'emportera.
Une mine à futur
Impression sur papier le plus bauvard possible, souvent le plus éco, pour bien gonfler sous l'encre déversée, manettes à fond, changeant la géométrie interne et structurelle du papier.
Imprimée, et l'on ne sait même pas de quel côté elle tombera.
Embrasser des fantômes pour de vrai
C'est une image
Comme l'épée de Damocles sur la tête, rajoutée au cas où...
La mettre en boule, un sculpix autour du cou. Paslapaslala.
Retour. C'est comme une longue succession de deuils à faire qui se profile devant. Ou prendre le risque d'Icare dans Odyssée 2001 de l'espace, merci de rectifier si je me trompe. Ou rester dans son ile.
Zut ! Faute à l'écriture ! Je n'aurais pas mis ce quatrième choix d'histoire.
Pour les 1000 et une nuit, une projection dort par là, in livegalerie.com
De grands panneaux, toujours.
2 commentaires:
Il n'y a pas de vie sans risque. Il n'y a pas de vie sans rêve. Mais les rêveurs sont-ils tous condamnés à mourir noyés dans les larmes de leur déception?
Je crois que les rêveurs sont fondamentalement optimistes. Plus la nuit est longue, plus le jour est proche. Mouais... Il est temps que j'aille dormir.
Enregistrer un commentaire