Fausse facilité



Des années que je cherche à ne pas donner corps à la colère.
Et pourtant... Quelque chose se présente toujours plus loin, toujours prêt.
A mordre, à remplir, à reporter sur l'autre.
Apprendre ce boomerang.
Et puis sentir, voir la souffrance à l'anneau d'origine, ne pas savoir comment dire, boire ton sang, ta plaie agrandir la mienne, en silence.
C'est comme ça. Sans tristesse, sans joie. Juste rêver que, peut-être, autre chose soit possible.

2 commentaires:

* a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Anonyme a dit…

et danser

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