Emprise
Le sillon qui déchirait les côtes impériales de la nuit
gravait en chair mille histoires de serments serrés
Dans cet abime que les pas allongent en quête d'oubli
se cherche l'âme perdue hors répétition
La vie fleurit ici aux champs d'illusions
en sels de son implacable élan
Pourquoi m'as-tu parlé?
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3 commentaires:
J'aime cette prise de nu, où le bras peut tout enserre-clé..
Mon genou sur ma cuisse. Y love me. Sorry. Ca ne change rien, n'est-ce pas?
You're all-right. "We are never so best serve than by ourselves" ! isn'it ?
Et ça ne change rien, oui (d'autant que je "sentais" -héhé- que le grain de beauté à l'orée de ton bras était des tiens).
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