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Quand je travaille, je me pose souvent la question de simplifier. La production, par exemple.
Cette machine là est trop complexe pour gérer la pièce unique. Répartir les barreaux, jouer l'écartement, la grosseur des soudures, l'inclinaison... Qu'une soudure en appelle une autre, juge sa conclusion.

L'intérêt du geste est irremplaçable, à beaucoup de niveaux. Pour mes échelles aussi.

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Une personne écrivait sur son blog : "Je pense le monde comme un horizon et non comme une échelle." C'est une question de point de vue, d'échelle justement. Pour moi qui ne voit que rarement les montants, le degré suivant n'est qu'une probabilité.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

c'est comme les barreaux qui ne sont qu'un trait d'horizon, c'est comme les portes que l'on claque trop fort ou que l'on entrebaille et qui se referment presque instantanément, il en est de même de la route qui vaille et qui porte à l'issue des trois clés, de choisir une nef, de choisir un pas ou un trait, sortir du gouffre ou en rappeler un autre, il en est de même, toujours un histoire de pas en trépas.

Pixel bleu a dit…

Oui, la vie n'est pas une machine, sa répétition un filtre de lumière.

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Nota

Sauf indication contraire, toutes les terres proviennent de :
Atelier Rinck