Doux leurres, d'où l'heure.



Qu'importe le monde, si des épines me lancent l'avant.
Seulement reconnu, salement touché, l'âme out of the board,
plantant les fuites de vagues éternelles.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

pour exister encore...à bout de souffle...toujours

edafeuse a dit…

je trouve votre blog tout simplement génial.Ce jeux de mots me laisse perplexe.c'est à méditer

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Nota

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Atelier Rinck