J'ai parfois l'impression, et c'est là mon ignorance qui parle, que l'ouverture du musée d'Orsey fut la dernière avancée artistique nationale. Le public découvrait une gare qui restait un espace public. Il découvrait sans erreur possible (avec l'assurance et la voix de la globalité des pouvoirs en place) que la représentation de la réalité pouvait quitter la "sèche" figuration héritée de l'histoire et dont la photographie et dérivés(films...) tenait le flambeau. Il découvrait en d'autres lieux l'espace entre Delacroix et Ingres. Il a fait un pas vers le flou, une sorte de multitude, tout en gardant son modèle.
Internet le forge à l'in-verse du cubisme.
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