Sur internet, tout se sait à qui veut savoir. Je raccourcis des distances qui n'en sont pas.
Dans la douleur, on ne peut aimer sans corps et ce corps, je l'ai oublié.
Le bonheur était dans cette alliance, au monde...
Et qu'emportent les mots?

C'est à vous que j'écris. Vous qui êtes mes muses que jamais je ne touche. Vous êtes irréelles. Vous êtes de ce bois qui manque à la peinture.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Jolie branche... bois tendre... à corps perdu, accord entendu.

Archives du blog

Nota

Sauf indication contraire, toutes les terres proviennent de :
Atelier Rinck